Journée de Pleine Conscience - Le désir et la colère

Onglets principaux

25 Janvier 2004 - 14:30 à 21:30

Le désir et la colère: une journée de Pleine Conscience dirigée par Chan Huy à la MPC (Maison de Pleine Conscience) de Montréal.

Le désir et la colère font partie des phénomènes mentaux, appelés formations mentales, qui existent en nous. L’attention à l’esprit dans l’esprit, troisième des Quatre établissements de l’attention, nous apprend à observer l’apparition, la présence et la disparition de ces phénomènes. Nous observons cinq catégories de désir qui créent toutes sortes de souffrance physique et morale, obstacles au chemin de la pratique. « Nous les reconnaissons et les examinons en profondeur pour voir leur substance, leurs racines dans le passé et leurs fruits potentiels dans l’avenir, en utilisant la respiration consciente pendant l’observation. »

Nous identifions ensuite l’absence ou la présence de la colère, en distinguons ses racines (l’incompréhension, la maladresse, l’environnement, l’habitude, etc.). Cette pratique contribue grandement à la démystifier, l’atténuer et la transformer en une autre énergie (de compréhension ou d’amour, par exemple). « Si la lampe de l’attention est allumée, la formation mentale observée prendra naturellement une direction positive. »

 

Fichier attachéTaille
Icône PDF JPC - Janvier 2004141.81 Ko

Nos dix prochaines activités :

17 Septembre 2024 - 7:30 : Méditation du matin
18 Septembre 2024 - 7:30 : Méditation du matin
18 Septembre 2024 - 14:00 : Groupe de méditation Ste-Mary-IPCAM
18 Septembre 2024 - 19:00 : Méditation du mercredi soir
19 Septembre 2024 - 7:30 : Méditation du matin
19 Septembre 2024 - 19:00 : Thursday evening meditation
20 Septembre 2024 - 7:30 : Méditation du matin
21 Septembre 2024 - 8:00 : JPC virtuelle
22 Septembre 2024 - 8:00 : Méditation du dimanche matin
23 Septembre 2024 - 7:30 : Méditation du matin
Toutes les choses merveilleuses que tu cherches: bonheur, paix et joie, tu peux les trouver en toi. Tu n'as pas besoin de les chercher ailleurs.
- Thich Nhat Hanh