Sa douleur, ma peine: Une journée de Pleine Conscience dirigée par Chan Huy à la MPC (Maison de Pleine Conscience) de Montréal.
Penser que le nuage est séparé de la pluie, l’arbre de la table, la pomme du compost, le bonheur de la souffrance, c’est penser avec les yeux de la conceptualisation, l’esprit d’illusion.
On n’a pas besoin de fuir notre condition humaine pour commencer à comprendre.
Lorsque nous arrêtons et regardons profondément nos formations mentales, nos notions du « nous et les autres », naissance et mort, ignorance et éveil, alors nous voyons leur véritable nature interdépendante.
La Pleine Conscience nous aide à réaliser que nous ne sommes séparés de rien, que notre souffrance n’est pas unique, que notre bonheur n’est pas étranger au bonheur du monde et de la planète dont nous faisons partie intégrante.
♪♪ « Oh appelez-moi par mes vrais noms... »
Fichier attaché | Taille |
---|---|
JPC - Janvier 2006 | 192.91 Ko |