Journées de Pleine Conscience

Nous nous comparons. Et toute comparaison crée de la souffrance, un malaise, de l’inquiétude, de la frustration. Mais nous nous comparons par rapport à quoi, à qui ?

Merci! Un mot de pratique. Une méditation. Une vision profonde à inclure dans nos énergies d’habitude... et d’attitude.

Réciter les soutras, pratiquer la voie de la Pleine Conscience, Fait s’élever des bénéfices sans limites,
Nous en offrons le fruit à tous les êtres.
Nous rendons hommage aux parents, enseignants, amis,

Je n’ai pas le temps. Je n’ai plus le temps. Je perds mon temps ! Il me faut plus de temps. Je n’ai pas de temps à perdre. Je veux gagner du temps ! Ne gaspillez pas votre temps !

...Se contenter d’une vie simple, ceci est le plus grand des bonheurs.

Le regret, le remords et la culpabilité sont des obstacles à notre paix intérieure. L’erreur nous paraît intolérable. Pourquoi nous pensons-nous infaillibles ?
Le sentiment de culpabilité est relié à l’esprit qui est relié à nos perceptions. Justes ou erronées,

Je m’aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie...

...pas du tout ?

Toute une journée de Pleine Conscience pour effeuiller la marguerite en ce mois de l’Amour!

Pourquoi parler de la mort au printemps? Pour mieux apprécier la nature qui renaît! Re-naît?
Était-elle morte? Dans le bouddhisme, l’idée de la mort est une vue « fausse », un des Huit Concepts ou Négations qui alimentent notre ignorance face à la réalité. Car pour le Bouddha, il n’y a ni naissance, ni mort, ni permanence, ni cessation, ni uniformité, ni diversité, ni allée, ni venue.

Pourquoi est-ce que je ne cesse pas de souffrir une fois que je l’ai décidé ?

Choisir la liberté, c’est parvenir à se défaire de ce qui n’est plus et ne pas s’enchaîner à ce qui n’est pas encore. C’est faire face aux turbulences émotives et aux orages imprévus en prenant refuge dans le No time’s land qu’est l’Instant présent. C’est opter pour un jardin de fleurs plutôt que pour un champ de mauvaises herbes.